Le Rapport CLEF-WB
Les autorités gagneraient à percevoir les bâtiments scolaires autrement que comme des infrastructures passives. Ils sont en effet toujours des lieux dynamiques d’enseignement et d’apprentissage qui créent un nombre considérable de relations réciproques avec tout un éventail d’acteurs sociaux, avec l’éducation ainsi qu’avec l’ensemble de la société.
Geert LEEMANS
Après 18 mois de travail, au fil des 172 réunions et avec la contribution de 142 personnes, le rapport final du CLEF-WB entend offrir une perspective d’ensemble : parce que les GT initialement constitués partagent au final certaines problématiques, mais surtout parce que la réalité des bâtiments scolaires ne se satisfait pas de barrières factices, se jouant au sein d’un même territoire géographique et institutionnel.
Il se compose de deux parties principales. La première, de nature réflexive, offre une vision synthétique des réflexions réparties en six enjeux :
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- → 01 Des évolutions pédagogiques
- → 02 Des lieux d’enseignement situés
- → 03 Transition climatique
- → 04 Mutualiser
- → 05 L’efficience des moyens financières de la FW-B
- → 06 La FW-B propriétaire
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La deuxième partie, de nature propositionnelle, présente un plan d’action en 21 recommandations réparties en 5 axes :
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- → 01 Redéfinir les processus de financement
- → 02 Redéfinir les normes physiques et financières
- → 03 Agir avec les régions
- → 04 Suivre les besoins : piloter – informer – sensibiliser – anticiper
- → 05 Sortir des sentiers battus
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→ Accéder au rapport
L’Enquête CLEF-WB
S’adressant directement aux pouvoirs organisateurs (PO), cette enquête a eu pour ambition de nourrir la connaissance du patrimoine dédié à l’enseignement et d’objectiver son état actuel et ses besoins pour tous
réseaux et tous niveaux d’enseignement confondus. Avec l’accompagnement du bureau d’étude Sonecom, l’enquête a été menée selon une méthode d’auto-administration, chaque PO ayant répondu de manière autonome via une plateforme en ligne. Elle a été structurée en trois questionnaires : un questionnaire « Pouvoir organisateur » ; un questionnaire « Implantation » ; un questionnaire « Bâtiment ».
Force est de constater le succès de cette enquête aux taux de participation tout à fait remarquables : 53,4 % des PO ont ainsi participé, pour couvrir 61,5 % des implantations. Au total, ce ne sont pas moins de 7.595 bâtiments qui ont pu être recensés.